Examens nationaux : le ministre François Bourouno lance les épreuves à Matam

Faits divers

Les premières épreuves de l’examen d’entrée en 7ème année ont été lancées sur toute l’étendu du territoire ce lundi, 10 juin 2024. Durant trois jours, les candidats vont affronter les différents sujets choisis à cet effet.

Au collège 2 Bonfi dans la Commune de Matam, c’est le ministre du Travail et de la Fonction Publique, François Faya Bourouno qui a présidé le lancement des épreuves en présence du président de la délégation spéciale de la Commune de Matam, Badra Koné et le directeur de l’Education de la même Commune, Ibrahima 2 Barry.

Au nom des autorités de l’Education communale de Matam, Ibrahima 2 Barry a fait savoir les efforts qui sont en train d’être déployés pour relever les défis du système éducatif de cette juridiction : « Je puis vous dire que la rigueur observée l’année dernière nous a galvanisé pour nous projeter pas après pas dans les défis que nous comptons relever grâce à l’implication sans faille des autorités communales et au leadership de notre Ministre de l’Enseignement Pré-Universitaire et de I’Alphabétisation Monsieur Jean Paul Cedy. Tout ceci à travers la vision combien clairvoyante du Chef de l’Etat, le Président de la République Chef Suprême des armées le Général Mamadi Doumbouya et de son gouvernement. Les candidats comprennent de plus en plus que le succès est au bout de l’effort. Encore une fois la rigueur est notre clé de voute ».

Le président de la délégation spéciale de la commune de Matam, Badra Koné a prodigué de sages conseils aux candidats, aux surveillants ainsi qu’aux délégués des centres de sa juridiction géopolitique. Car, pour lui, la réussite de cette évaluation nationale y va non seulement dans l’intérêt des candidats, mais également à la République de Guinée qui a besoin des futurs cadres aguerris.

Le ministre du Travail et de la Fonction Publique, François Faya Bourouno a, à son tour invité les candidats à plus de sérénité dans le traitement des épreuves en toute aisance afin de produire des résultats tant attendus qui sont l’admission.

Aux surveillants de maintenir la rigueur et la discipline dans le travail pour mieux qualifier le capital humain.

C’est dans cette optique qu’il a invité les acteurs notamment les parents à s’impliquer davantage dans l’encadrement des élèves : « Il s’agit de faire en sorte que l’encadrement scolaire ne se limite pas seulement que dans les salles de classes. Mais aussi dans les ménages en incitant les enfants à apprendre pour bâtir un système éducatif fiable ».

A rappeler que le collège 2 Bonfi a 594 candidats dont 318 filles, 38 surveillants, 23 dames repartis dans 20 salles. Au total 5357 candidats dont 2761 filles sont en compétition dans 16 centres d’examen.

Sékouba Kourouma

 

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